Tous les sondages le prouvent, les français sont
pessimistes. Ils ne voient plus d’avenir, leur quête du bonheur est sans cesse
entravée par des obstacles divers et variés…
Je suis pourtant surprise en côtoyant de grands malades, dont l’objectif est de se maintenir en vie, de voir à quel point ils apprécient
la vie et savourent chaque seconde comme si c’était la dernière !
L’accessoire n’a alors plus de place, le matérialisme non
plus, seuls comptent l’amour et le partage.
La disparition soudaine de plusieurs personnes autour de
nous nous fait prendre conscience de la fragilité de la vie et de la stupidité
de certaines attitudes.
Faudra-t-il donc toujours avoir la mort en face pour se
rendre compte que la vie est belle ?