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Cette fixation sur les indemnités qui échappaient à ceux qui n’avaient pas été élus en dit long sur ce qui motive ces mêmes personnages.
Car voyons, quand on parle de solidarité, d’exemplarité, il faudrait pouvoir se l’appliquer à soi même.
Qui parle d’indemnités non méritées ?
J’ai souvenir d’un ancien adjoint, dans la précédente mandature, dont la délégation était le développement touristique.
Ce personnage - exemplaire - fut éconduit et écarté de son poste pour des motifs que nous pourrons évoquer plus tard si besoin est…
Ce même adjoint, remplacé en début de mandat par un élu de la communauté des communes dont les compétences étaient reconnues de tous, se trouva donc sans affectation particulière. S’est-il proposé pour remettre les indemnités qui lui étaient versées sans raison ? Absolument pas !
Que ce même adjoint distille en permanence son animosité et sa perfidie dans les réseaux sociaux en dit long sur ses motivations.
Solidarité est le mot le plus employé par nos détracteurs.
Ne me retrouvant pas dans leur argumentaire qui me semblait relever de l’imposture, j’en cherchai la définition dans mon dictionnaire.
Ce que j’y trouvai me permit de mieux comprendre leur cheminement intellectuel !
Solidarité : dépendance réciproque de plusieurs personnes ayant pour effet de lier la destinée de chacune d’elles à celle des autres.
Dès lors, on comprend mieux que certains élus aient envie de faire payer 54%, voire 73% d’augmentation minimale de taxe d’habitation pour toute la population et ce pendant 20 ans…
La solidarité est donc l’assouvissement d’une passion en la faisant financer par d’autres au risque d’entraver tout développement économique futur.
- La solidarité fut d’endetter la ville à un point tel que plus rien de sérieux n’est possible sauf à demander encore plus d’impôts à nos concitoyens.
Dans un prochain édito, toutes les photos de l’état des équipements tels qu’ils nous ont été laissés vous seront présentées…
- La solidarité est de s’apprêter à abandonner un service public (la lecture et la culture à portée de tous) pour satisfaire des égoïsmes partisans.
- Dans notre commune, la solidarité fut de payer pour une radio montoise, des investissements à hauteur de 16 854€ plus une facture de 3873€84 de gadgets publicitaires.
- La bonne gestion du DGS de l’époque fut d’aider la municipalité d’Hendaye à se débarrasser d’un parquet démontable pour la salle des sports de Laloubère et ce pour 35 880€ .
Ce même parquet inutilisable fut stocké dans les entrepôts de la commune, il est depuis inutilisable et invendable.
- La bonne gestion fut d’en acheter un autre pour 72 926€78 afin que cette équipe adulée puisse évoluer correctement.
- La bonne gestion fut de proposer la construction d’un palais des sports alors que les caisses de l’état sont vides, que tous les financements se font rares, et que des structures existantes permettent d’évoluer correctement et conformément à la définition départementale de l’équipe.
- La bonne gestion fut de facturer des services municipaux en dessous du prix de revient et de façon arbitraire en fonction de celui qui en bénéficiait.
- La générosité de nos donneurs de leçons fut de demander à certains de faire de faux témoignages pour se débarrasser d’un salarié qui leur posait problème.
Que dire des méthodes utilisées pour faire taire une de leurs anciennes collègues qui devenait gênante ? Que malheureusement ces méthodes perdurent.
Pour obtenir des votes, savez-vous que l’on promet des emplois à certains, des subventions à d’autres, des dossiers qui seraient traités prioritairement etc.
Voilà un fonctionnement exemplaire qui suscite beaucoup de nostalgie chez ceux qui n’ont qu’une obsession : manipuler afin d’assouvir leur ambition personnelle.
Non vraiment, ce n’est pas l’idée que je me fais de la politique : mon écœurement est grand et mon pessimisme profond quant à l’avenir de notre communauté des communes et de notre pays.
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Claire Duprat